LIGHT YAGAMI (de DEATH NOTE)  VS    INSPECTEUR DERRICK (de lui-même)

Avant tout :
Moi, Water-Poulet, suis franchement content de vous présenter mon premier beybey que j'ai rigolé en l'écrivant sur ce blog. Pour ceux qui ne connaissent pas Death Note (je vous avez pourtant prévenu de regarder ou lire Death Note), tout ce que vous avez besoin de savoir, c'est que le héros principal, Light Yagami possède un cahier (le Death Note) grâce auquel il peut tuer des gens en inscrivant leur nom dedans. Son nom de tueur est Kira. Et je ne vous spoil pas en disant ça.
Voilà, vole, petite crotte.

Il venait de condamner : Suzuki Kanata
 s’étrangle à table avec un pruneau.
d’un coup-trait de style d’encre –
Hommage à Ray Penber.
Et son rire de démon sonnait dans la cuvette.

Ses cheveux coupent son rictus de profil, en plan rapproché des toilettes.
« Ts-  » comme s’il crachait son sceptre.  Un temps de sourire tendu.
Vu d’en dessus de l’ampoule, il se relève vers la lumière.
Kira des.
Et vu de dos il baisse sa braguette et ne quitte pas ne peut pas quitter son rictus de face de vue rapprochée. Et il se dit que plus personne ne pourrait l’identifier maintenant, sans parler, à voix haute.  Il remonte sa braguette et souffle de trois-quarts. Sourire décontracté.
..

Il poussa la porte noire polie de la cabine, et fit un pas. De l’eau coulait dans un lavabo noir. Il ne s’attendait pas à trouver le reflet ignoble de l’inspecteur Derrick dans les miroirs concaves des  toilettes du Sayu’s. Et pourtant.
 Derrick était tout sourire.
Nanda ?..  - !

Derrick était tout sourire parce que de l’eau coulait sur ses mains et que Light était un beau jeune homme. Et son reflet de Derrick concave lui dit :
-  M. Yagami ?
- Oui. Vous êtes l’inspecteur Derrick. Je vous ai reconnu.
Derrick ferma le robinet.
- En effet, et moi donc. Vous voyez, je vous ai identifié, dit le Derrick concave avec des yeux malicieux.
Nani ?...
-
Eh ?!
Non, c’est impossible.
- Comment ça, vous m’avez identifié ?
- Vous avez diNtA NqIu ?e ..!.!!
- Je n’ai jamais  - Votre amie a l’air d’adorer les  pruneaux.
-…
Tout en parlant il secouait ses grandes mains fripées mouillées au-dessus du lavabo, sans le quitter des yeux. Sans s’arrêter.
Ça le dégoutait. Light – son cœur battait tout contre son Death Note, Death Note qui était contre sa poitrine, pendant que Derrick enchaînait ses gros indices. Et il les enchaînait. Et il dit même (il avait du apercevoir le coin du Death Note dépasser des sa poche) il dit même :
« C’est un joli cahier que vous avez là ». Non, c’était trop !

Derrick pouilla encore une fois ses mains au-dessus du lavabo noir. Il était tout sourire. Il aimait beaucoup les mangas.
« Vous savez, je mène actuellement une enquête sur Kira », lui confia-t-il pour montrer qu’il en avait encore dans la panse. «Et même qu’un jour, j’ai fait une cascade à la télé », ajouta-t-il tout de suite après.
Et maintenant, il s’agissait d’effectuer un demi-tour sur lui-même afin d’analyser la portée de ses mots de façon très frontale sur le visage du jeune homme. Peut-être verrait-il ce visage en plan rapproché. Ainsi se retourna Derrick.

Il se retourna pour se retrouver face à un gros œil froncé d’un mauvais sourcil de la taille des toilettes publiques d’un grand restaurant. Tous traits fin tirés  /\__/\___/\___/\___/\ avec de sombres bouffées de ténèbres nippones. La pupille rétractée, de la taille de sa tête à lui,  toute  focale et qui tirait direct du crâne du mec ciblait son crâne à lui, œuf-de-coq. Tout  gravitait autour du poids prodigieux massé dans la pupille x-ancrée sur sa tête.

…  Et il ressentit comme un malaise face à cet œil, qui le gênait sans doute, sans pouvoir expliquer pourquoi.
 Il  retourna la tête grassement vers le miroir, mais il n’y avait plus de décor derrière lui. L’espace-temps avait été aspiré dans la pupille centrale de la scène. C’était noir.
 Il se dit que les prochains clients ne pourraient pas se laver les mains.    Non...       Il irait signaler le problème au personnel.
 Car l’inspecteur Derrick n’est jamais de repos.
       Toujours sur le qui-vive.
« Hha. » Il sortit un mouchoir blanc de sa poche,   et le déplia. « Hha ».  Il s’essuya le visage   avec, et d’un côté et de l’autre. Il le replia avec soin trempé de transpiration avant de le remettre dans sa poche. Oui. Il se retourna vers l’œil.
 Ce n’était pas ça qui le gênait. Il se rapprocha du globe oculaire. En l’observant attentivement il vit très clairement la multitude de vaisseaux sanguins qui rayaient l’œil tout entier. Ce qui lui fit penser que l’homme était assez nerveux.
« Êtes vous nerveux, M. Yagami ? »


Le pruneau défendu dans la bouche, Suzuki Kanata s’apprêtait à déglutir quand é.cla.ta LE RIRE qui brisa tous les verres de Light Yagami des toilettes du Sayu’s dans toute la salle si fort qu’elle s’en étrangla du pruneau.



: Derrick meurt des suites d’une foulure à la cheville sur le tournage du prochain épisode de l’Inspecteur Derrick.
Pour mon petit Light, tendrement,
Derrick.

"Un soir, tu me sacras poète
     Blond laideron :
Descends ici, que je te fouette
     En mon giron"

Le GironaRimbaud

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« Mesdames, Messieurs.

Sur le plateau

Crasseux-verdureux

                -arbu et barbu

                -foutu et déchu

Poisseux et scabreux

«  La plus grande solitude »

(Produit par Jean-Cul Street)

Nous gob-gobons today

Un millénaire et un birthday

                -bon nombres de bonbons bombés      pour l’occasion.

Un seul cependant

Se pendant

La corde au coup

Et le pied-stigmate

Sera gratifié.

Son nom ?

De la Raie

L’homme inspiré

Qui passait son humble

                                               Temps

A renommer les maux

Aïe Aïe

Signifie : suis le bus »

De la Raie :

« Advienne que pourra

Le poisson fuit le marais

Et j’empeste l’oignon souillé

Le homard a surgi et je l’ai gobé »

« « La plus grande solitude »

Se désintéressera du décryptage

Et pourtant :

La Haute-Marne

(se) Marre

Ah ! Sûr !

Gît »

« Qu’est-ce que le homard ? »

Ask l’invité

« Vous n’ le saurez jamêêêh. »

Habonymus